Sayali, fille de Nanylia.

Bonjour, le même titre que pour l'inscription mais la c'est mon Back-ground je l'ai divisé a 7 Chapitres, que je donnerais au fur et a mesure. Voici donc le premier qui parle de mon entrée dans le clan ^^.

(Lors que je met ***Musique ambiance*** avec un lien je vous conseil de télécharger la musique correspondante au passage)

[s]Chapitre 1: L'éveil[/s]

***Musique d'ambiance***

"Depuis combien de temps, je suis ici? Comment en suis-je arrivé la? Est-ce le moment de ma mort? Alors je vais mourir c'est cela? Mais comment j'en suis arrivé ici ?"

Dans sa cellule grise elle était seule. Pour seul compagnon cette petite goutte d'eau qui tombait inlassablement sur une roche. Était-ce le jour ou la nuit ? Le temps était complètement figé. Depuis combien de temps était-elle la. était-ce un rêve ou la réalité ?
Les jours s'écoulèrent comme les heures elle était seul. A ce demander qu'elle était la folie qui l'avait conduite ici.

Un jour, alors qu'elle était dans un des coins de sa cellule sans lumière un homme rentra: "Numéro 25487A12 !"
A qui parlait-il cet homme ? D'où sortait-il était-ce encore une chimère créé par l'esprit de la iopette sûrement malade a cause de la solitude ?
L'homme se rapprocha. Il prit la iopette crasseuse par les cheveux et la traîna dehors. Ils lui mirent un objet sur les yeux.
Pendant le voyage deux hommes discutait. "Elle est pas très farouche ! Ça me dirait bien de faire une petite pose..." ricana l'un des deux maton. L'autre maton acquiesça par un rire narquois.
Le cortège s'arrêta. "C'est bon on est dehors, ses yeux ne devrait pas brûler il n'y a pas de lune, Allez hop" L'un des deux hommes se plaça derrière la iopette pour vérifié l'état des liens. Puis l'autre enleva la capuche.

***Musique d'ambiance***

"elle n'est pas si laide" Ricana l'un des deux matons. La iopette était ébloui par la lumière de la nuit. Les deux matons commencèrent a caresser la visage de la iopette. Puis l'un des deux la plaqua au sol.
La iopette était désemparé. Elle entendit une voie au fond de son coeur. "Veux-tu vivre?". Elle essaya de se débattre tant qu'elle le pouvait. "Veux tu renoncer a ton ancienne vie contre ma protection ?". La iopette pleura et hurla. Les deux matons jubilais "Calme toi, petite c'est pour ton bien! HAHAHHA!"
La iopette ne pouvais pas se libérer complètement affaibli par c'est année de prison. "Crie mon nom ! Et tu sera libre, Crie le ! Crie le !!!" La voix dans sa tête devint de plus en plus insistante. "SAYALI !!!" Hurla la jeune iopette. D'un coup elle sentit une vague d'énergie a l'intérieur de ses muscles. Ses yeux devinrent entièrement jaune et brillant. La iopette expulsa l'un des deux matons. Puis fis Volt-face sur le second.
Paniqué celui-ci trébucha voulant remettre son pantalon.
"Qui es-tu ???"
"Mon nom est Sayali, fille de nanylia!"
"Ce n'es pas possible tu es morte depuis maintenant 300 ans!"
"Ahahaha! Meurs Bontarien !" La main de sayali écrasa le coup du garde.

***Musique d'ambiance***

Sayali se réveilla dans les plaine de bonta. Le soleil et les herbes lui caressait le visage. "Tiens c'est étrange qu'est ce que je fais la?" se demanda t-elle a son reveille. « Oula ! et cette migraine... ». Sayali s'avança vers un ruisseau. Elle se débarbouilla le visage. Elle vit un reflet de visage qui n'était pas le sien. "J'ai du sacrément boire hier soir." Elle entendit non loin de la un jeune marchant de zooooournal. "Demandez le zoooournal! Demandez le zoooournal! Dernière nouvelle, Une iopette inculpé pour vol s'est évadé et a tuer deux gardes derrières elle ! Demandez le zoooournal! Demandez le zoooournal!"

Sayali replongea sa tête dans l'eau elle vit ses mains taché de sang qu'elle s'empressa de laver. Elle vit a coté d'elle une armure bontarienne et une bourse de kamas. Elle s'empressa de s'équiper et alla voir le marchand.
"Bonjour petit, Je voudrais un zooournal s'il te plaît"
"Bien sur ! Cela vous fera 10 Kamas"
Sayali donna les dix kamas.
"Au revoir madame la garde !" L'enfant reparti a la recherche d'autre client aventurier de la plaine.

Sayali regarda la date du papier. 637, 5 jouillier. Sayali regarda la bout de papier, complètement déconcerté puis elle partie a la recherche d'une ville. Elle arriva finalement a Astrub. Toute personne qui la croisa lui dit la même chose a chaque fois qu'elle posa la question.
"Nous sommes le combien ?"
"5 jouillier 637 M'dame ."

Sayali n'en revenais pas. 300 ans. Elle décida alors de prendre ses affaires et retourna dans son ancienne demeure à Brakmar.

***Musique d'ambiance***

Arrivé sur place, elle vit son ancienne demeure en cendre. Pendu a l'arbre gisait deux squelettes. il portait un écriteau sur le coup "Mort a la traîtresse et a sa famille." Sayali pleura toute les larmes de son corps. elle jura de se venger des descendant de ceux qui avait fait cela. Il fallait maintenant trouver un clan et des alliés ! Sayali parti donc et après un an de recherche elle trouva la clan qui lui fallait. Rivendell.

Hé hé pas mal du tout, j'ai apprécié l'histoire. Il y a une petite incohérence (je pense) mais sinon, très bien. Et avec les musiques d'ambiance, ça fait original

La iopette se remémora un bien sombre moment de son passé, elle regarda Enyar qui signa...
"Voila ce dont je me souviens..."

Chapitre 2: Un funeste passé

« Maman ! Maman !» hurlait le jeune homme qui ne voulais décidément pas dormir.
La jeune femme sorti de son lit et alla voir son fils. Elle le pris dans ses bras sans qu'il n'ait nul mot a dire. Elle le cajola avec tout l'amour qu'une mère pouvais ressentir pour son fils.
« Qu'est ce qui ne va pas Wonsul, encore un de t'es mauvais rêve ? » La voix de la jeune femme était sereine elle regardait son enfant a la manière d'un ange.
« Maman... J'ai vu un monsieur devant ma fenêtre... »
« Ah bon ? » la jeune femme regarda encore son fils et le posa dans son lit.
« Je vais regarder alors, c'est sûrement un monstre ou encore un Bontarien » rigola t-elle.
La nuit était paisible ce soir la à Brakmar, la cité dormait dans le silence. Le ciel était magnifique, il n'y avait pas de lune. Un tapis de lumière s'étendait par de la l'horizon. Cette voûte céleste majestueuse emplissait de joie et de bonheur le coeur de la jeune iopette. Elle se mit a regardé par le fenêtre et ne vue aucune âme qui vive. Seulement les soldats de la garde qui faisait leur ronde.
« Tu as sûrement rêvé ... » Lorsqu'elle se retourna elle vit un homme avec une cape sombre proche de son enfant une lame pointé sur la gorge de celui-ci.
« Tu es Sayali ? » La voix de l'homme était déformé et il portait un masque miroir.
« Oui c'est moi... Éloignez vous de mon fils... Immédiatement... Sinon... »
« Sinon quoi?! » L'homme rapprocha la lame du cou du jeune homme, jusqu'à lui faire une entaille.
« Tu n'es pas en position de discuter. Si tu te met a crier il meurs. Tu va me suivre sans broncher. Met ca ». L'homme en noir jeta un sac et des menottes.
« Met le sac sur ta tête et met toi les menottes ».
Le jeune garçon n'était pas apeuré. Sa mère était une combattante il le savais. Il fallait qu'il trouve le moyen de prévenir son père mais comment ?
Sayali s'exécuta elle se mit les menottes au poignet puis avec les mains lié elle approcha la cagoule de son visage. Elle regardait son fils...
« Maintenant !» Hurla t-elle en regardant derrière l'homme en noir. Celui-ci regarda derrière lui et il ne vit personne. La iopette sauta sur l'homme en noir et hurla:
« Colère de iop » Les deux poings de la iopette s'entourèrent d'une lumière pourpre, elle enfonça le crane de son opposant dans le sol.
Le mari de la iopette se réveilla en sursaut, il courut vers la chambre de son fils. Il n'y vit personne. Sa femme et son fils avait disparu. Paniqué il commença a chercher dans tout les endroits possible. Il courut vers la chambre de sa fille.
« Nephy ! Nephy » La jeune fille se réveilla doucement.
« Popaaa... c'est toi » Le père pris sa fille dans ses bras.
« Oh mon Dieu... Oh mon dieu » Il pleura en tenant sa fille.
« Ca va popa ... ? » la jeune fille était encore trop insouciante pour savoir ce qu'il se passait.
Le père su se ressaisir il prit tout ce qu'il pouvait et couru vers la milice.



« Non vous ne pouvez pas ! » Les portes s'ébranlèrent l'homme furieux rentra dans les appartements du capitaine de la milice brakmarienne.
« Que voulez vous Junsong? » Le capitaine ayant entendu tout le rame-dame s'était déjà préparé.
« Ma femme ! C'est horrible, ils ont kidnappé ma femme ! »
« Qui ils ? »
Junsong essayait de retrouver son souffle.
« Ils... la confrérie... »
La capitaine su tout de suite de quoi il s'agissait, cela avait un rapport avec un mouvement interne au sein de brakmar. L'heure était grave...

(Voila le chapitre deux, la suite dans un avenir proche...)