Nous sommes en maisial 636. La ville d'astrub est en pleine ébullition. Les aventuriers arrivent du monde entier, ayant apris la dispersion des Dofus dans Amakna et les pouvoirs qu'ils contiennent.
Très vite il n'y a plus assez de demeures pour accueillir les nouveaux arrivants. Des quartiers populaires se forment. C'est la, au coeur d'un quartier nord d'astrub, que commence notre histoire. Ce quartier se nomme Brouque'line.Très défavorisé, il accueille tout ce que le monde contient de truands et de bandits. C'est la, dans ces demeures de fortune, que tout commence.
Dans la rue, des marchands tentent de vendre quelques ressources sur des étals pas forcément plus propre que le sol.On trouve des cuirs de bouftou, quelques fruits : des fraises, des citrons, et quelques armes moins dangereuses encore qu'un piou.
Des enfants, sales et malhodorants, courent partout en chapardant ce qu'ils trouvent.
Le brouhaha est permanant. D'un seul coup, un cri retentit, la foule s'arrête, silencieuse. Un second cri encore plus fort se fait entendre, suivi d'une longue série de hurlements. Les gens laissent de coté leurs activitées diverses pour s'approcher d'une tente dressée au milieu d'une église occuée par des malheureux demandant asile. Des gens écartent l'étoffe de kanigrou qui sert de porte pour entevoir l'interieur.
Au centre de la tente, sur des laines de bouftou de differents types, une osamodas est la, le ventre gonflé, des gouttes de sueur coulant sur son front. Un feca a ses cotés lui tient fermement les mains. " Aidez moi,s'écrit-il, ma femme est en train d'accoucher". Les gens entrent alors et s'efforcent de soulager l'osa comme ils le peuvent.
Ceux qui sont restés dehors assistent alors a un spectacle impressionant: le ciel clair se recouvre d'un épais manteau de nuages d'un noir sinistre arrivant du nord-ouest. A l'interieur de la tente, une vieille enutrofette donne les dernières instructions: " A la prochaine contraction, poussez de toutes vos forces, l'enfant est preque la".
Dans un hurlement terrible, l'osa pousse de toutes ses forces. Au même moment les nuages atteignent le soleil qui est a son paroxisme dans le ciel. Les nuages se teintent alors d'une couleur rouge sang et un grondement monumental se fait entendre. Les cris des gens dans les rues, de l'osa mettant au monde son enfant et le déchirement du ciel créerent un vacarme assourdissant qui ébranla toute la population d'amakna.
A ce moment, un éclair monumental déchira le ciel, du point de rencontre entre les nuages et le soleil, jusqu'a l'église. Lorsqu'il toucha l'église, une formidable explosion se déclencha, la détruisant et tout le quartier par la même occasion.
Lorsque les miliciens d'astrub arrivèrent sur les lieux, le quartier de Brouque'line n'était plus qu'un tas de ruine. Les éniripsas tentaient de soigner les quelques srvivants.
Lorsqu'ils furent arrivés au centre du quartier, a l'ancien emplacement de l'église, ils furent abassourdis : elle avait été entièremet détruite, les gens a l'intérieur avec.
Au point d'impact un cratère prfond d'au moins 5 mètres c'était formé. Une fecate allait dessendre lorsqu'un cra arriva, essouflé, arrivant a peine a respirer.
"Ca y .. ca y est pfff la guerre ... est déclaré ... Bonta et pff... Brakmar sont pff en guerre" Les gens étaient abasourdis. Les nuages noirs apportaient le mal venu de brakmar. L'éclair était le signe des Dieux de cette déclaration de guerre, dont on pouvait dénombrer les premiers morts.
Au moment de cette annonce, des gémissements se firent entendre au centre du cratère. La fecate et les miliciens dessendirent au coeur. La , parmis les cadavres calcinés des gens présents dans l'église, ils trouvèrent deux bébés, un osa et un feca. Etrangement, l'éclair ne les avait pas brulés, mais leurs cheveux étaient devenus blanc. Cette marque leur rappellerait a jamais la date de leure naissance, synonime du début de la guerre fratricide du peuple d'amakna. Mais ce n'était pas le seul stygmate visible sur leurs corps. Sur leur visage, une plaie s'était formée au coin de leur oeil. Le feca a l'oeil gauche, l'osa a l'oeil droit. Ces marques étranges formaient, bien que les enfants furent trop jeunes pour comprendre et être triste, des larmes. Mais les blessures saignant, cela formait deux larmes ...... de sang.
Voila la suite tant attendue, ou pas
Non pour ceux qui ont lu jusqu'a la fin eh bien oui ce n'est pas encore fini jai encore plein d'idées ^^ Je vais vous faire mieu que les feux de l'amour en quantité et, je l'éspère, en qualité
Bonne lecture et surtout sortez couvert.