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| 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo | |
| | Auteur | Message |
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Matsumoto Modérateur
Nombre de messages : 319 Age : 44 Date d'inscription : 26/03/2007
| Sujet: 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo Ven 10 Aoû 2007 - 13:00 | |
| 1 à 10
J’suis pas un poulpe (1ère partie)
« Quel est l’abruti qui a décidé que le bouton « Select » serait le bouton de saut ?
Mais que font les Bêta testeurs de certains jeux dont la configuration par défaut de la manette est tout sauf ergonomique ? Si encore il était possible de définir une configuration personnalisable, mais il est avéré que les jeux dont l’interface est des plus pourries sont souvent ceux qui offrent au mieux trois configuration boutons différentes, parfois aussi ingérables les unes que les autres.
J’suis pas un poulpe (2ème partie)
« Appuyez sur « L1+R2+Triangle » pour dégainer, puis sur « Bouton blanc+L2+Droite » pour tirer »
Certains jeux ont tendance à nécessiter tant de commandes qu’un pauvre pad classique, pourtant fort boutonneux, ne peut les absorber qu’avec moult combinaisons de touche que seul le par cœur peut surmonter. Et encore ! Et quand on pense que sur PC, des simulations de vol ne se contentent pas des 102 touches du clavier, mais nécessitent aussi l’emploi de combinaisons de touche, ça donne le vertige.
Méchamment chargé
« Please wait… loading… Please wait… loading… Zzzzzzz »
La PSP est maîtresse en la matière : le temps de chargement de ses jeux sont souvent interminables. Cela peut à la rigueur s ‘excuser pour la portable, qui a peu de mémoire, mais maints jeux sur Pc ou consoles de salon plus maousses côté mémoire souffrent de ces temps de chargement à rallonge. Le pompon revient à ces jeux qui chargent au pire moment, à savoir quand la tension est à son maximum, juste avant le Boss de fin de niveau, par exemple.
Lâchez une caisse
« Grande promo sur les caisses, les tonneaux et les cruches !»
Histoire de cacher l’absence d’interactivité réelle avec l’environnement du jeu, certains titres misent sur des artifices destructibles déplaçables pour donner un peu de vie aux décors. La plupart du temps, ces objets sont les mêmes, n’ont pas toujours de bonnes raisons d’être là où ils sont, sinon d’y être cassés.
Débilus Profondicum 1ère partie
« Dans le mot « Intelligence Artificielle », on a surtout « Artificielle »
Ca nous fait toujours autant marrer de voir des gardes qui vous repèrent, vous perdent de vue, vous cherchent avant de redevenir les plantons amorphes qu’ils étaient avant l’incident, comme si le fait qu’ils vous aient perdu de vue signifie que vous vous êtes volatilisé. Mais il y a pire que ces crétins : les gardes qui voient leur collègue tombé au sol, tué par une balle que vous lui avez savamment logée en pleine tête avec votre fusil de sniper, et qui font comme si de rien n’était, attendant patiemment que vous les visiez.
Débilus Profondicum 2ème partie
« Des amis comme ça, on s ‘en passerait !»
On voit de plus en plus de jeux avec des alliés dirigés par l’ordinateur. De tout temps, ils ont semé la pagaille : du footballeur qui touche la balle avant qu’elle ne passe la ligne et file l’avantage a l’autre équipe au soldat qui se lance seul avec sa bite (dsl ! ! !) et son couteau à l’assaut d’une mitrailleuse protégée par un bunker rempli d’ennemis en passant par le commando censé vous protéger qui préfère courir sur place, bloqué par un mur. Les intelligences artificielles amies sont la plupart du temps traîtresses.
Au poil du cul près
« Elan, ok. Timing, ok. Go ! Proutch. Et merde !»
Les passages de plates-formes où il faut sauter au bon endroit, au bon moment et surtout ne pas flancher d’un pouce de peur de se cogner de nouveau tout l’obstacle sont légion. Dans les jeux de plates-formes proprement dit, on l’accepte : ça fait partie du jeu. Mais on a tendance à retrouver de plus en plus de passages tordus dans d’autres genres, comme les FPS : sauter au bord d’une plate-forme pour atterrir sur le bout de l’ongle du gros orteil sur une autre plate-forme est difficile et agaçant en vue subjective – surtout qu’en général vous ne voyez pas vos petons.
Caméra obscura
« t ‘es gentil, je préférerai vois le monstre plutôt qu’un gros plan de mon entrejambe.»
Même avec le tout en temps réel, les Devs peuvent toujours nous balancer des gestions ultra pourries des angles de caméras qui gâchent tout : lors d’un combat, on fait un pas vers la droite (vers l’ennemi donc) et l’angle change brusquement en contrechamps, nous obligeant à nous réadapter et à agresser l’ennemi désormais à gauche de l’écran (trop tard, en général). On pense que les angles de caméra pourris sont volontairement inclus par pur sadisme.
Faites la lumière sur les interrupteurs
« Bravo, vous êtes presque a la fin. Retourner activer l’interrupteur du premier niveau pour ouvrir la dernière porte. Ps : les monstres de tout le jeu sont réactivés.»
Chez vous, avez-vous un interrupteur dans la cave qui allume la salle de bain au premier étage ? Ou avez-vous, dans votre chambre, le clavier de programmation de votre micro-onde qui, lui, se trouve dans la cuisine. Non ? Eh bien, c’est une chose courante dans les jeux : une porte blindée s’ouvre avec un interrupteur situé à plusieurs pièces de là.
En bois bandé
« Lâchez ce bazooka et ce pied de biche et cherchez plutôt la clef, blaireau !»
La porte est fermée à clef. Les Devs veulent que vous alliez chercher ailleurs la clef correspondante. La porte est en bois vermoulu. Vous pourriez l’exploser à coup de savate ou avec votre lance-roquettes, mais non : les Devs en ont décidés autrement. Fulminez tant que vous voulez, mais rappelez-vous qu’il y a pire : ces innombrables portes qui jamais ne s’ouvriront car elles ne sont là que pour décorer. | |
| | | Matsumoto Modérateur
Nombre de messages : 319 Age : 44 Date d'inscription : 26/03/2007
| Sujet: Re: 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo Ven 10 Aoû 2007 - 13:02 | |
| 11 à 20
Garou, le passe muraille
« Oh ! Un passage secret… qui mène à l’intérieur d’un mur !»
Aujourd’hui encore les jeux accusent souvent des problèmes de collision : mon bras passe au travers d’un mur, les jambes d’un monstre dépassent d’une porte fermée (ça, ça peut être pratique), etc. Et ne nous dites pas qu’il ne vous est jamais arrivé d’être coincé dans un élément de décor ou de traverser un mur et tomber dans le vide ad vitam æternam…
Tricheeeeurs 1ère partie
« Si quelqu’un te frappe la joue gauche, balance-lui une bonne droite.»
Vous me croyez pas ? Essayer : tapez un peu dans le pare choc arrière d’un véhicule contrôlé par l’ordi. La plupart du temps, la voiture adverse fait comme si de rien n’était, tandis que la vôtre vole dans tous les sens. A l’inverse, si une voiture dirigée par l’IA vous défonce l’arrière, vous valdinguez, et pas elle !
Tricheeeeurs 2ème partie
« Le chemin le plus court entre deux points est la tricherie.»
Vous avez piloté comme un dieu et vous avez largué tous les autres concurrents, leurs mettant tranquillement un tour et demi dans la vue. Tout en gardant votre vitesse de pointe et une parfaite maîtrise des virages, vous regardez le décor… et vous vous apercevez que les adversaires, comme par miracle, vous collent ! L’IA triche, c’est bien connu.
Coucou le voilou (1ère partie)
« Un pas, un combat. Un pas, un combat.»
Amateurs de jeux de rôle essentiellement japonais, mais aussi de jeux d’action qui ne savent comment allonger intelligemment leur durée de vie ou leur difficulté, prenez garde : les combats surprise se produisant tout les deux-trois clignements d’yeux peuvent vous agacer. Si en revanche vous vous surprenez à les apprécier, attention : vous êtes en train de devenir un « nerd ».
Coucou le voilou (2ème partie)
« J’t’ai pas déjà tué une vingtaine de fois, toi ?»
Le respawing est la bête noire du joueur de FPS ou d’Action-Aventure ? Pour que le joueur ne s’ennuie pas, les Devs font réapparaître régulièrement les monstres afin de vous rendre la vie difficile. Mais ça annule toute velléité de jouir de ce moment de calme ou l’on admire un nettoyage de map en profondeur. De toute façon, les ennemis morts disparaissent bien vite, parce qu’ils sont gourmands en polygones, ces cadavres. Et il faut laisser la place aux remplaçants.
Coucou le voilou (3ème partie)
« Ca te dérange si je t’appelle Dolly, toi aussi ?»
Que les extraterrestres visqueux aient tous la même tronche, passe. Mais que les voyous du gang que vous affrontez aient tous la même tronche (ou au mieux se déclinent en 2-3 versions), c’est grotesque. Ou alors, il faudrait qu’on puisse leur donner le visage de notre choix : imaginez éliminer des gangs de belles-mamans ou de beaux-frères !
Lève tes fesses
« Tous les super-guerriers ne savent pas sauter.»
Vous dirigez un soldat rapide, musclé, agile, passé maître au maniement des armes blanches, des fusils et des explosifs. Mais, voilà, il suffit d’un bête muret de cinquante centimètres de haut pour casser l’image flamboyante du héros : il n’y a pas de bouton « sauter ». Il va falloir lamentablement contourner ce grotesque obstacle.
Les yeux pas dans les poches
« Ah ah ah ! Tu ne trouveras jamais mon talon d’achille !»
On compte par pelletées entières les jeux où la localisation des dommages n’est qu’une chimère. Dans ces jeux, les ennemis ont des cranes en kevlar et des bras bioniques adamantins : aucun headshot ne les tuera d’un seul coup, aucun tir dans la jambe ne les empêchera de vous courir après.
Champs de force et clôtures d’acier
« Je veux vomir sur le bas-côté.»
Vous conduisez une grosse voiture de rallye et vous ratez votre dérapage, fonçant vers une petite clôture en bois qui délimite le parcours. Schtonk : Vous pilez net en touchant ladite barrière qui reste de marbre. Au pire, elle vous renvoie valdinguer en arrière comme une balle en caoutchouc. Dans le genre, il y a aussi les espaces découverts délimités par un mur invisible, dans presque tous les types de jeu.
Moi seul pisse dans le bocal
« Y’a ton nom sur les checkpoints ?»
Vous venez de rater un checkpoint et vous êtes pénalisé, obligé de revenir en arrière, perdant ainsi un temps précieux. Les adversaires informatiques l’ont raté eux aussi, mais ils continuent quand même. Sinon, dans les courses d’arcade, vous avez remarqué que les adversaires que vous avez battus passent les niveaux comme des fleurs, alors qu’il suffit que vous ne soyez pas dans le trio de tête lors d’une course pour être disqualifié ? | |
| | | Matsumoto Modérateur
Nombre de messages : 319 Age : 44 Date d'inscription : 26/03/2007
| Sujet: Re: 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo Sam 11 Aoû 2007 - 21:59 | |
| 21 à 30
Va chercher… au pied. Va chercher…
« Si tu avance quand je recule…»
Le premier Halo avait fait des miracles dans le genre : la première moitié du jeu vous faisait traverser une dizaine de niveaux, qu’il fallait retraverser dans l’autre sens dans la seconde moitié du jeu. On trouve aussi des jeux de course avec des parcours en mode Miroir ou Nocturne (trois utilisations du même tracé) et des jeux de rôle où l’on doit retourner dans des donjons déjà visités, mais pour d’autres quêtes. L’impression de déjà-vu, ça n’amuse pas longtemps.
L’homme chauve-souris
« Un sonar dans la tête, un capteur infrarouge dans les fesses et un radar dans les narines »
Si certains ennemis informatiques sont très bêtes, d’autres sont méga-awares. Ils vous voient même si un mur épais vous sépare, vous entendent même si vous faîtes autant de bruit qu’un mort. Bref, ils sont programmés pour vous attaquer envers et contre toute logique. Vous les haïssez ? Moi aussi. Presque autant que les ennemis complètement crétins (voir les points 5 et 6). C’est dire !
La bosse du boss
« Empalé, décapité, écartelé, immolé… t’en veux encore ?»
Les Boss de fin de niveau sont difficiles à tuer, soit. Mais, franchement, des Boss humains qui ne s’écroulent qu’après avoir reçu 300 balles dans le corps, des mutants qui perdent de la vie uniquement lorsque vous leur sectionnez les poils de nez ou des extraterrestres qui ne sont vulnérables qu’au sommet du crâne et seulement après leur avoir balancé une roquette dans chaque rotule, c’est un peu poussé, non ?
Moissonneuse battue
« Miam, un diamant. Miam, une pomme. Miam, une pièce d’or. »
Nous avons toujours eu du mal à comprendre la fascination que peuvent exercer les pièces, cristaux, fruits et autres trucs flottants à ramasser par milliers dans la plupart des jeux de plates-formes. Tout ça pour une pauvre vie supplémentaire ou un maigre bonus à déverrouiller. Et dire qu’il existe des furieux qui se targuent de tout avoir ramassé dans les jeux du genre qu’ils ont approché…
Non, non, ne zappez pas
« Pour la quatre-vingt-douzième fois, je vous résume la situation. »
Certains jeux ont de belles cinématiques, d’autres en ont des pourris. Mais, surtout, certains jeux ont des cinématiques impossibles à zapper, même après les avoir visionnées, de préférence juste avant un passage difficile qui nécessitera plusieurs tentatives avant d’être surmonté. En général, lesdites cinématiques sont pourries.
Sauve qui peut (1ère partie)
« Attention : prochaine station-service à 500 kilomètres. La suivante, 100 mètres plus loin. »
Si certains jeux permettent au joueur de sauvegarder où et quand il le désire, la plupart dépendent de bornes de sauvegarde bien précises, parfois même à utilisation limitée. Or, plus d’une fois, on a remarqué que ces bornes étaient placées n’importe comment, certaines étant très distantes. Toute erreur vous ramène des dizaines de minutes de jeu en arrière. Parfois, elles sont très proches l’une de l’autre. Et ce dans le même jeu, sinon ce serait trop simple.
Sauve qui peut (2ème partie)
« Tu es sûr ? vraiment sûr ? vraiment-vraiment ? »
« Appuyez sur « A » pour sauvegarder. » D’aaaaaccord. « Etes-vous sûr de vouloir sauvegarder ? » Oui. « Vous allez écraser l’ancienne sauvegarde. Etes-vous VRAIMENT sûr ? » Mais oui, merde ! « La partie est sauvegardée. Voulez-vous quitter ? » Non, je veux continuer. « Etes-vous sûr ? Si oui appuyer sur « B » Oui, je suis sûr. Ptinnn, j’ai appuyé sur le « A » ! » La sauvegarde existe déjà. Voulez-vous l’écraser ? » Gnéééééééééééééééééé !
Je veux le même truc à fumer !
« Mais bien sûr ! il suffisait d’insérer le cintre cassé dans le chameau lépreux pour ouvrir la grille d’aération ! »
Les auteurs de jeux d’aventures ou de tout jeu qui inclut des énigmes doivent être payés par les éditeurs de solutions de jeux. Vu le nombre de puzzles illogiques ou tordus, ce n’est pas possible autrement. Vous l’auriez fait spontanément, vous, utiliser l’épée sur le buisson pour essuyer le tableau noir avec le pigeon décomposé afin de dévoiler la carte aztèque secrète ?
Mate mon polygone
« Je ne peux désormais me masturber que devant ma playstation. »
A force de mettre un peu partout des Babes en 3D plus que voluptueuse, les Devs de jeux vont détraquer la belle machinerie sexuelle de la plupart des ados qui jouent aux jeux vidéo. Ils ne seront plus aussi excités par les filles en chair et en os, mais uniquement par les amas de polygones plus ou moins sexués. Si vous voulez un bon plan business, investissez dans les sex toys pour hommes sous licence de jeu vidéo. Le secteur va exploser.
Quoi de neuf, docteur ?
« Maintenant, elle pète en faisant « R1+L2+Triangle » ! »
On ne compte plus les jeux à succès menant à des suites qui reprennent la recette, voire le même moteur de jeu, et qui se contentent d’ajouter deux-trois petites nouveautés finalement très « gadget ». Exclusif ! La suite propose trois nouvelles armes ! Votre perso peut désormais péter pour asphyxier les ennemis ! Et on en apprend un peu plus sur ses origines, faute d’avoir des niveaux de jeux originaux (en fait, on a surtout changé les textures des décors…). | |
| | | Matsumoto Modérateur
Nombre de messages : 319 Age : 44 Date d'inscription : 26/03/2007
| Sujet: Re: 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo Dim 12 Aoû 2007 - 15:18 | |
| 31 à 40
A mort le commentateur
« Qui a oublié de couper le son des commentaires dans les options ? »
Il y a des commentaires bourrés de platitude, répétitifs et qui nous ennuient. Il y a ceux aussi qui hurlent, parfois sur fond de musique « djeunz », en particulier quand il est question de snowboard, de skate ou autre sport extrême. Et n’oublions pas les commentaires à la ramasse, auxquels est rodée, par exemple, la série des Pro Evolution Soccer. Mais ce qu’il y a de bien avec les commentaires sportifs, c’est qu’on peut les couper.
Déchirez la toile de fond
« Raconte pas ta life, je viens te massacrer. »
C’est particulièrement vrai dans les jeux de combats : quel est l’intérêt de ces pseudo histoires stupides, cousues de fil blanc ou totalement dénuées de saveur qu’on nous balance entre deux combats ou sur les fiches des personnages ? Amis développeurs, ne vous fatiguez pas à trouver des histoires à vos combattants, on s’en moque. De même, pourquoi vous évertuez-vous à leur créer des fiches détaillées avec leur rhésus, leurs hobbies, etc. Comme pour le reste, on s’en tamponne, on veut juste les cogner.
Le syndrome Armageddon (1ère partie)
« J’ai évité qu’un météore géant ne s’écrase sur la terre juste en crachant dessus… »
Certes, les jeux vidéo sont fait pour s’évader, pour incarner des héros qu’on ne sera jamais dans la vraie vie. Mais quand même, c’est risible. Un seul individu dans l’univers (le joueur, donc) est capable des combattre en solo les forces du mal / les extraterrestres / les terroristes. Ailleurs que dans un jeu vidéo, ça fait marrer tant c’est pathétique. C’est tiré par les cheveux, pas original, mais les scénaristes s’y accrochent.
Le syndrome Armageddon (2ème partie)
« Il s’était retourné un ongle et ça l’a énervé. Il a alors décidé de détruire l’univers. »
De l’amnésique promis à un destin extraordinaire au plombier sauveur de princesse, en passant par le concierge se retrouvant au cœur d’une attaque de mutants et qui va tout seul détruire le laboratoire sur une planète inconnue, les scénarios des jeux vidéos sont souvent les mêmes, jouant sur les mêmes ficelles énormes, sur des coups de théâtre qui ne surprennent personne ou des constats navrants empruntés à ces films qui sortent directement en vidéo (pas les pornos, les autres).
Trou de mémoire
« T’aurais pu le dire que tu étais chargée ras la tronche ! »
Grand moment de solitude : vous avez joué des heures a votre nouveau jeu, vous avez triomphé de maintes épreuves et aller faire une pause. Vous voulez sauvegarder. Mais votre seule carte mémoire est pleine : impossible d’effacer autre chose pour y mettre votre sauvegarde. Ou votre disque dur crashe. Parfois, on regretterait presque les vieux jeux qui n’avaient pour sauvegarde qu’un code alphanumérique d’une incroyable longueur à recopier pour reprendre là où vous en étiez.
Dure, dure la durée de vie
« Plus que 50 grilles de sudoku (niveau expert) à remplir et vous avez fini notre jeu d’action ! »
La plupart des jeux le font : plus vous approchez de la fin, plus les séquences casse-bonbon ont tendance à surgir. Ici, un labyrinthe immense vous fait perdre des heures. Là, une énigme tordue vous bloque. Là, encore, c’est un boss surpuissant qui vous oblige à faire marche arrière. Bref, les Devs trouvent toujours un moyen pour gâcher les derniers moments d’une partie.
Liberté illusoire
« Tu peux choisir d’aller au nord, au sud, à l’est ou à l’ouest, mais si tu ne vas pas au sud, tu meurs. »
Viens jouer à mon jeu, y’a une grande liberté d’action. Mouais… Sauf que des quêtes secondaires inutiles, des chemins menant vers une impasse, des endroits où vous pouvez aller qu’après avoir récupéré ailleurs un objet précis, des bouche-trous qui n’apportent rien ne sont pas ce qu’on peut appeler une vraie liberté d’action. La linéarité vidéo est dans la quintessence de la plupart des jeux vidéo, ne serait-ce que pour offrir une expérience de jeu agréable.
Dans la popoche
« Où ai-je mis ma moto ? Dans mon blouson ou dans mon pantalon ? »
Il faudrait que les héros de FPS ou de certains jeux d’action-aventure nous expliquent comment ils peuvent porter en même temps deux pistolets, un fusil, un lance-roquettes, vingt grenades, une mitrailleuse lourde, deux uzis, dix trousses de soins, tout en courant sans s’essouffler.
Alouette gentille alouette
« Testicules, bras, tête : même moule. »
A quand un vrai jeu de combat qui prend réellement en compte la localisation des coups ? Ca ne vous semble pas surréaliste que la résistance des combattants soit simplement symbolisée par une bête barre de vie ? Un petit coup de genou dans la cuisse fait perdre autant de points de vie qu’un même coup de genou dans l’aine.
Et c’est tout ?
« Bravo, tu as sauvé le monde ! Voilà un carambar en récompense. »
L’ultime écœurement du jeu vidéo. Vous avez passé des heures à braver tous les dangers, à exterminer des hordes d’ennemis, à résoudre des énigmes tordues, et vous êtes récompensé au mieux par une petite cinématique de merde ou un bête bonus inutile ainsi déverrouillé. On devrait décorer et interviewer au JT les joueurs qui finissent les jeux, ou mieux : les éditeurs devraient leur envoyer des strip-teaseurs/seuses pour les féliciter de leur réussite en télégramme chanté.
Dernière édition par le Mar 14 Aoû 2007 - 13:01, édité 1 fois | |
| | | Orunitier Administrateur
Nombre de messages : 1109 Age : 34 Date d'inscription : 23/10/2006
| | | | Matsumoto Modérateur
Nombre de messages : 319 Age : 44 Date d'inscription : 26/03/2007
| Sujet: Re: 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo Mar 14 Aoû 2007 - 13:04 | |
| Voilà, j'ai finiiiiiiiiiiii. Merci à Némésis (le créateur de Matsu en fait) & Addict pour leur coup de main. | |
| | | Orunitier Administrateur
Nombre de messages : 1109 Age : 34 Date d'inscription : 23/10/2006
| | | | Bisoun Modérateur
Nombre de messages : 468 Age : 37 Date d'inscription : 03/11/2006
| Sujet: Re: 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo Mar 14 Aoû 2007 - 14:33 | |
| Lol oui ça fait le charme de ces jeux aussi :p Et bravo Matsu j'ai bien rigolé ^^ | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo | |
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| | | | 40 Trucs qui énervent dans les jeux vidéo | |
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